Principe 1 : se former
- Pour utiliser cette technologie au mieux, créer des requêtes adaptées et efficaces sur vos sujets quand vous le souhaitez et aussi pour mieux en comprendre les limites et les évolutions.
- Pour bien vous éclairer, par exemple, sur des questions juridiques et de propriétés intellectuelles, sur la question des sources d’information ou encore de protection des données, ou tout autre sujet essentiel pour la bonne utilisation de cette technologie.
Principe 2 : rester curieux…
- Parce que nous pensons que c’est du cerveau humain que peuvent réellement naître les idées créatives, car un humain ressent, souffre, s’énerve, se frustre, se réjouit… Tout ce qu’une IA ne fera jamais !
Principe 3 : … et vigilant
- Parce qu’à nous aussi, l’IA fait peur. Que craignons-nous ? L’uniformisation des idées et des créations, et aussi une faiblesse dans la qualité de l’exécution et de la réalisation.
- Parce que nous avons conscience que l’IA se nourrit et s’inspire d’une certaine idée du monde et des gens, et reproduit un certain nombre de stéréotypes par exemple.
Principe 4 : être transparent
- Quand on l’utilise dans nos process, par exemple, dans une démarche itérative et participative à l’occasion d’un atelier pour favoriser le passage de l’idée à la réalisation graphique.
- C’est aussi s’assurer de votre consentement avant de créer du contenu texte et/ou visuel avec l’IA sur vos sujets le cas échéant.
- C’est, enfin, afficher clairement et visiblement que les contenus sont créés grâce ou par l’IA quand ils sont diffusés, à disposition des publics.